mercredi 18 novembre 2015

Commotion cérébrale


Commotion cérébrale

Selon Santé Canada:

"La commotion cérébrale est le résultat d’un coup à la tête, au cou ou au corps. Lors de l’impact, le cerveau frappe contre la boîte crânienne, ce qui endommage les tissus cérébraux et qui peut entrainer des séquelles importantes dépendemment du nombre de commotions subies et de la gravité de l'impact."

Pour ce qui est des sports, la commotion cérébrale va survenir lorsqu'un joueur reçoit un coup à la tête, lorsqu'un impact sur le corps cause un coup de fouet au niveau du cou et fait bouger la tête de manière incontrôlé (phénomène appelé Whiplash) et si les dents d'un athlète claquent ensemble lors d'un impact.

Les symptômes se manifestent surtout par :

- étourdissements;

- maux de tête;

- nausées et vomissements;

- bourdonnement dans les oreilles;

- désorientation;

- vision trouble;

- dilatation importante de la pupille;

- somnolence;

- perte de conscience

Une commotion cérébrale provoque toujours de durée courte allant 1 à 10 secondes ou de longue durée, une perte de conscience juste après l'impact. En effet, une commotion cérébrale survient lorsque le cerveau frappe la boîte cranienne, or cela provoque à tout coup une perte de conscience (black-out), qui peut provoquer des convulsions au moment durant laquelle la personne est sans conscience. Par perte de conscience, il s'agit ici de voir une personne éveillé, mais incapable de répondre aux questions qu'on peut lui poser et aussi si la personne ne semble pas éveillé, donc les yeux fermés.

À ce moment, il faut garder la personne immobile, car il se peut que l'athlète ait des problèmes au niveau des vertèbres cervicales. Il faut que le médecin de l'équipe ou que la personne en charge surveille les tremblements, et aussi les réponses à des questions simples données par le médecin.

Il est possible de subir différents niveaux ou types de commotions cérébrales et cela va permettre au médecin de donner le feu vert pour le retour à l'entrainement ou au jeu.

Bonne lecture et bon sport.

François Dessureault, fransois_0123@hotmail.com

 

source:


Dictionnaire Larousse 2012

Syndrome croisé supérieur et inférieur


Syndrome croisé supérieur

déjettement de la tête vers l'avant ou syndrome croisé supérieur

En résumé, on peut remarquer que la tête est projeté vers l'avant dans l'axe frontal. Ce qui crée une lordose cervicale exagéré ou plus sévère. Aussi, on peut remarquer que les épaules sont plus avancés dans le plan frontal par rapport à leur position normale. Finalement, tout ce phénomène va faire ressortir les scapulas un peu comme des ailettes vers l'arrière. Ce problème peut venir du fait que les personnes sont restés dans une position assise ou au travail trop longtemps.

 

Entre autres, nous pouvons remarquer la fameuse courbure thoracique haute et la rotation interne des épaules. Par cette nouvelle posture d'adaptation, le corps se tient plutôt sur des raideurs contrairement qu'avec un minimum de tonus des muscles posturaux.

«Une posture adéquate demanderait en effet un minimum de tonus des muscles fléchisseurs du cou, extenseurs thoraciques hauts et rétracteurs d'omoplates, tous des muscles posturaux. Par contre, la posture opposée amène un manque de souplesse des "gros" muscles de mouvements puisqu'ils sont ici en position raccourcie de façon prolongée. On parle alors des muscles qui amènent les épaules et la tête vers l'avant.»
[1]

 

Syndrome croisé inférieur

 

Il s'agit d'un déjettement du bassin vers l'avant qui peut être causé par des muscles fléchisseurs de la hanche qui sont trop forts. Cela amène le bassin vers l'avant. Les personnes à risque sont les sprinteurs olympiques qui ont un grand manque de flexibilité au niveau du psoas et du droit fémoral, mais les danseuses sont souvent touchés par ce problème. Puisqu'elle sont souvent en talons hauts, elles doivent souvent avoir les fesses hautes et ainsi elles inhibent les muscles extenseurs du bassin, ce qui projette leurs fesses plus hautes pour garder l'équilibre.

Les cause qui vont mener a un désalignement postural comme le syndrome croisé inférieur sont au niveau neuromusculaire l'apprentissage ainsi que la répétition de geste qui vont a long terme crée une surexcitation ou un allongement de certain muscle . dans le cas de l'antéversion du bassin on parle d'une surexcitation des fléchisseurs de la hanche et un allongement des extenseurs de la hanche en plus tout comme le syndrome croisé postérieur on assiste a une déjection de la tête  crée par  une inhibition des fléchisseur creux du cou et d'un allongement des extenseur de la tête.

Selon le docteur Sahrmann c'est aussi une répétition de geste a long terme qui pourrait crée ce désalignement comme mentionner plus haut le docteur Sahrmann propose un plan pour aller renforcir les muscles faible comme les extenseur de la hanche et d'aller assouplir les muscle surtendu comme les fléchisseurs de la hanche . c'est alors encore une approche qui nous propose un plan de réadaptation a long terme pour aller corriger ce désalignement postural qui a été cause par une séries de mauvais habitude et de répétition.

 

dans ce trouble il est clair qu'il faut réservé la partie souplesse pour les fléchisseurs de la hanche et le scalène qui sont beaucoup trop hyperactif et court. donc comme mentionner plus haut une programme en souplesse qui vise alors des mouvements de grande amplitude pour crée une allongement des sarcomères. pour les extenseurs de la hanche ainsi que les fléchisseurs creux du cou et les abdominaux il faut travailler en renforcement donc des mouvement de haute fréquences a amplitude régulière pour renforcir les muscles faibles voir augmenter la masse musculaire de ceux ci. donc mobiliser les muscles faible et assouplir les muscles hyperactif

 

http://www.omt-france.fr/Congres-IFOMPT-Quebec-2012-resume-de-la-conference-de-Shirley-Sahrmann_a36.html

 



[1] http://physiodesrives.com/articles/troubles-de-posture consulté le 15 avril 2013

Blessure au poignet


Blessure au poignet

 

 

Les blessures aux poignets sont très fréquentes chez les athlètes. Dans des sports comme le hockey, la boxe, le tennis ou autres, les mouvements du poignets sont omniprésents afin de bien performer dans les différentes épreuves.

 

Voyons d'abord l'anatomie du poignt et de la main:

Le poignet et la main sont composés de 27 os. Ces 27 os sont les huit os du carpe, cinq métacarpiens et 14 os qui forment les cinq doigts (phalanges). Les importants muscles fléchisseurs et extenseurs ainsi que les tendons qui servent le poignet et la main proviennent du coude et de l'avant-bras. Les tendons fléchisseurs proviennent du condyle médial du coude et passent par les canaux au-dessus de la paume de la main. Les tendons extenseurs proviennent du dessus du condyle latéral et passent par les six compartiments le long du dos de la main. Les nerfs, les artères et les veines passent aussi par ces canaux dorsaux et palmaires pour servir différentes parties du poignet et de la main.

 

Tout d'abord, les différentes blessures possibles sont:

- la fracture des os

- l'entorse des ligaments

- les inflammations des tissus par sur-utilisation (tendinite)

 Les blessures les plus communes du poignet et de la main comprennent les entorses et les fractures. Elles sont très communes en raison de l'utilisation de nos mains pour contrer une chute, mais aussi pour la surutilisation que la plupart des gens en font dans la vie de tous les jours. Les mains sont un moyen de se protéger du danger. Cela entraîne souvent une entorse ou une fracture au poignet. La tendinite est plus souvent causée par un traumatisme direct ou par une surutilisation du tendon. Le traumatisme direct cause une inflammation localisée et limite l’espace dans le canal par lequel le tendon passe. Le tendon ne grossit pas, mais le tissu conjonctif qui entoure le tendon développe des transformations métaboliques qui entraînent la douleur. La surutilisation ou les mouvements répétés peuvent créer des syndrômes comme celui du tunnel carpien.



 

Francois Dessureault, fransois_0123@hotmail.com

source:

-http://www.journaldemontreal.com/2014/03/16/blessure-au-poignet

Blessure à la cheville


Blessure à la cheville

C'est bien connu, quand on pratique un sport ou une activité physique, la plupart du temps il faut se déplacer. En se déplaçant, en marchant, en courant, en patinant ou autres, le premier point de contact avec le sol est bien entendu les pieds. Juste au dessus du pied, il y a un des points de pivots les plus importants du corps humain.

La cheville fait en sorte que nous pouvons adapter notre pied et notre position à pratiquement n'importe quels situations du quotidien et faites lors des activités physiques. Cette articulation a pour but de faciliter les déplacements du corps. Elle est composée de plusieurs os et ligamenets. Tout d'abord, les os les plus importants sont le tibia, le fibula, le calcanéum et le talus. Les ligaments les plus importants sont le tibio-fibulaire, collatéral latéral (externe) faisceaux antérieur, moyen et postérieur et le calcanéo-fibulaire.

Les blessures qui surviennent le plus souvent au niveau de la cheville sont les entorses. Dans les entorses, il s'agit d'une lésion créée par l'étirement d'un ligament dans une trop grande amplitude. Bien entendu, il y a différents degrés d'entorse.

Le grade 1 signifie que les ligaments mentionnés plus haut sont seulement étirés. Cela ne veut pas dire qu'il n'y aura pas de douleur. Cependant, il n'y a pas de déchirure vraisemblablement. La plupart du temps, le repos, le froid, l'élévation et l'immobilisation vont aider à retourner plus vite à son utilisation. Cela peut varier entre 1 semaine à 3 semaines de façon générale.

Le grade 2 est plus grave. Il s'agit de l'étirement et de la déchirure partielle d'un ou des ligaments. Quelques fois, une opération peut être nécessaire, mais généralement après un mois d'immobilisation, la cheville peut revenir à sa forme ancienne.

Le grade 3 consiste à la déchirure complète des ligaments les plus importants. Cela nécessite une intervention chirurgicale et peut prendre de 2 à 4 mois avant de récupérer complètement.

De plus, il peut aussi y avoir des fractures au niveau de la fibula et du tibia, ce qui nécessite une longue convalescence estimée à plusieurs mois (4 à 6 mois environ). De plus, le calcanéum est l'os qui se fracture le plus souvent lors des impacts à la cheville.

Il ne faut jamais se fier à la douleur ressentie pour évaluer le degré de la blessure. Un médecin reste la personne la plus qualifié pour évaluer la blessure.

Pour la réadaptation de cette blessure, il faut retrouver une mobilité, donc ne pas mettre tout son poids et essayer de pratiquer le plus possible les amplitudes de mouvement du pied. Après, on peut essayer d'aller nager ou simplement de battre des pieds dans l'eau, cela reste un bon indicateur si la cheville va être capable de supporter le poids de la personne. Ensuite, les exercices de mouvements comme le squat avec des charges plus légères pour terminer avec des exercices de stabilités comme marcher sur un tapis mou pour retrouver la force, la mobilité et les amplitudes de mouvement du quotidien de ceux qui font régulièrement de l'activité physique.

Bon entrainement

Francois Dessureault, fransois_0123@hotmail.com

source:



- notes de cours de Denis Marchand, professeur de blessure musculosqulettique à l'UQAM

- entretien avec Jean P. Boucher, doctorat en blessure à la cheville